Après une for­ma­tion au Conser­va­toire de Liège, il tra­vaille avec des met­teurs en scène tels que André Stei­ger, Natha­lie Mau­ger, Jean-Claude Berut­ti et Jacques Del­cu­vel­le­rie. Met­teur en scène et péda­gogue, il ren­contre en 1999 la scé­no­graphe Mag­gy Jacot avec laquelle il réa­lise durant 12 ans les créa­tions de la Com­pa­gnie Arse­nic (Le Dra­gonÉclats d’Harms Caba­retMac­bethDéra­pages ou Géant de Kaillass…) dont il assume éga­le­ment la direc­tion artis­tique. Depuis 2013, il pour­suit avec Mag­gy Jacot et la Com­pa­gnie Pop-Up des spec­tacles copro­duits par les prin­ci­pales ins­ti­tu­tions de FWB tels que Alpen­stock de Rémi De Vos, le spec­tacle musi­cal Caba­ret du bout de la nuit ou UBUs. On les retrouve début 2017 aux com­mandes de Méphis­to au Théâtre du Parc. Il prend en novembre 2017 la suc­ces­sion de Cécile Van Snick à la direc­tion du Fes­ti­val de Spa.
Au théâtre, Chris­tian Cra­hay a beau­coup bour­lin­gué. Il par­court, depuis 1967, le réper­toire clas­sique et contem­po­rain, en Bel­gique et en France, avec des met­teurs en scène tels que : Peter Brook, Ben­no Bes­son, Oto­mar Kre­jča, Jean-Marie Vil­lé­gier, Isa­belle Pous­seur, Mar­tine Wij­ckaert, Cathe­rine Das­té, Adrian Brine, Jean-Claude Berut­ti, Lorent Wan­son, Jean‑Pierre Vincent, Ales­san­dro Fabriz­zi et, récem­ment, avec Chris­tian Bag­gen pour le spec­tacle Elvire Jou­vet 40… Il a reçu en 1997 le prix du Théâtre dans la caté­go­rie « meilleur comé­dien ». Au ciné­ma, il tra­vaille entre autres avec les frères Dar­denne, Chan­tal Aker­man, Raoul Peck, Chris Van­der Stap­pen, Har­ry Cle­ven, Lucas Bel­vaux, Manu Bon­ma­riage, Sol­veig Ans­pach, Robbe de Hert, Marian Hand­wer­ker, Yves Han­char, Jean-Julien Col­lette et Oli­vier Tol­let, Géral­dine Doi­gnon, Xabi Molia… Il tourne aus­si dans des séries télé­vi­sées — et des web séries — dont, der­niè­re­ment, La Forêtet La Trève — sai­son 2. Il est nom­mé en France pour le Prix « Jean Car­met » en 2001. Il par­ti­cipe comme comé­dien à des spec­tacles musi­caux avec Mur­ray Shaf­fer, Hen­ri Pous­seur, Patrick Davin, Jean-Claude Mal­goire, Jean-Paul Des­sy, Phi­lippe Pier­lot, Diet­lind Ber­tels­mann, Sybille Wil­son, Thier­ry Poquet ; il est dan­seur dans une cho­ré­gra­phie de Michèle-Anne-Demey… Actuel­le­ment, il est en tour­nage avec le réa­li­sa­teur Kore-Eda Hiro­ka­su, aux côtés de Cathe­rine Deneuve, Juliette Binoche et Ethan Hawke.  
Didier a sui­vi une for­ma­tion de comé­dien au Conser­va­toire Royal de Bruxelles. Sor­tit en 1995 il est enga­gé au Théâtre de Poche dans “Tu ne vio­le­ras pas” mis en scène par Waj­di Moua­wad. Sui­vront “Trains­pot­ting”, “Bent”. Paral­lè­le­ment, il joue au Théâtre du Parc (Loren­zac­cio), au Théâtre Jean Vilar (Les Affaires sont les Affaires, Ornifle), à la Valette (Visites à Mr Green), à l’Abbaye de Vil­lers-la-Ville (Dom Juan, la Balade du Grand Macabre, le Bos­su, Mila­dy), au Théâtre Le Public (Faut Pas Payer!), au Rideau de Bruxelles (La Mai­son de Lem­kin), au Varia (La Chan­son de sep­tembre, Char­gé), au Théâtre des Gale­ries (le Tar­tuffe, l’Assassin habite au 21), au Méri­dien (Lebens­raum). Il joue pour la Cie Ché­ri-Ché­ri dans « Yvonne Prin­cesse de Bour­gogne » et pour le Zut dans « Voix Secrètes », « L’Ouest Soli­taire », « Incen­dies », « Lit­to­ral » et « Bri­tan­ni­cus ». Au ciné­ma, il joue dans “Pour le Plai­sir” de Domi­nique Derud­dere, dans “Les Doigts de Pied” court-métrage réa­li­sé par Laurent Denis, dans la série “A Tort ou à Rai­son” et “Luas” copro­duites par la RTBF. Il prête éga­le­ment sa voix au dou­blage, en fran­çais, de films et de séries télé­vi­sées. La sai­son pas­sée il a joué dans “Caba­ret”, le musi­cal, dans “Ama­deus”, “LeLivre de La Jungle”et “Cali­gu­la”. Avec la Com­pa­gnie Pop-Up il a déjà joué « Alpen­stock » et « Caba­ret du bout de la nuit ».  
Il est d’a­bord un pilier du théâtre jeune public avec le fameux Théâtre de la Gala­fro­nie, un pas­seur de culture et de fron­tière au tra­vers de ses mul­tiples incur­sions dans le théâtre fla­mand, un ama­teur d’ex­pé­riences et de ren­contres qui n’hé­site pas à tra­vailler avec des non-pro­fes­sion­nels ou de tout jeunes gens à peine sor­tis des études. Mais il s’agit aus­si d’un acteur recon­nu sur toutes les scènes de FWB (Prix du Meilleur Comé­dien en 2004), qui conserve en toutes cir­cons­tances le goût de la troupe, du par­tage et du tra­vail en com­mun.  
Pia­niste, Com­po­si­teur, Arran­geur. Après une for­ma­tion en per­cus­sions clas­siques et afri­caines, Fabian Fio­ri­ni a com­men­cé l’étude du pia­no à l’âge de quinze ans. Depuis ce jour, il cherche la voie juste pour chan­ter l’inouï. C’est en com­po­sant, impro­vi­sant, arran­geant des chan­sons, inter­pré­tant les lieds les plus sur­pre­nants qu’il passe tout son temps. Sur ce che­min très ouvert il a croi­sé les per­son­na­li­tés et/ou ensembles sui­vants : Les Tarafs de Haï­douks, Ictus Ensemble, Aka Moon, Octurn, Magik Malik, Gil­bert Nou­no, l’Ensemble Inter­Con­tem­po­rain, Anna Tere­sa De Keers­mae­ker, TG Stan, Le Grou­pov, Gar­rett List, Fre­de­ric Rzews­ki, Phi­lippe Pier­lot, Pierre Vaia­na, Kris Defoort, Fabrice Mur­gia, Lorent Wan­son dans des lieux aus­si éloi­gnés les uns des autres que peuvent l’être deux gouttes de pluie tom­bant simul­ta­né­ment aux anti­podes. Il enseigne depuis 2011 au Conser­va­toire Royal de Liège l’improvisation et la For­ma­tion avan­cée au Lan­gage Contem­po­rain, depuis 2015 au Conser­va­toire Royal de Bruxelles, l’arrangement Jazz et au Arts au Car­ré de Mons, l’harmonie Jazz à de jeunes musi­ciens clas­siques pleins de talents. Il com­pose l’imposé des demi-finales pour le Concours Musi­cal Inter­na­tio­nal Reine Eli­sa­beth pour le pia­no en 2016. …  
Concep­teur sonore, direc­teur d’acteur et comé­dien : Fran­çois Join­ville a fait ses études théâ­trales à l’I.N.S.A.S., Bruxelles (1993). Concep­teur sonore, il a tra­vaillé avec Mar­cel Del­val Edmond , Quar­tett , Le Sys­tème Riba­dier, Léo­nie est en avance ; Chris­tine Del­motte : Kiki l’Indien, Ahmed le sub­til, Nathan le sage ; Didier DeNeck : Jeff ; Phi­lippe Van Kes­sel : La punaise ; Phi­lippe Sireuil : Des cou­teaux dans les poules, Tar­tuffe, Mesure pour Mesure, Des Mondes Meilleurs ; Pas­cale Bin­nert : Croi­sade ; Sophie rous­seau : Quel che­min , Ils sont com­ment ce soir ; La Cie Arse­nic : Une soi­rée sans his­toires, Le Dra­gon, Eclats d’Harms Caba­ret, Le Géant de Kaillas, Mac­beth ; La Cie Pop-Up : Albert-Hubert, Alpen­stock, Poids plume, Caba­ret du Bout de la Nuit, Ubus, Mephis­to, Juke-Box Opé­ra. Comé­dien, il a joué avec Lorent Wan­son, Trans­quin­quen­nal, Pas­cale Bin­nert, Del­phine Che­ve­ry, En France, il est direc­teur d’acteurs et met­teur en scène de plu­sieurs com­pa­gnies de théâtre de rue : « Cie Mobi­lis In Mobile », « Cie Ben­voi­la », « Cie Off », …
Fran­çois-Michel van der Rest est comé­dien, auteur et met­teur en scène. Il sort de l’U­ni­ver­si­té de Lou­vain-la-Neuve avec un Mas­ter en Phi­lo­so­phie et un autre en Sciences Théâ­trales. Il com­mence par le clown, avec Total Théâtre (Peer Gynt – tra­gé­die pour six clowns et un met­teur en scène — ; Les Mous­taches de la Reine) puis J’a­vais dit Non !, avec la Com­pa­gnie C’est Comme Ça. Il enchaîne avec des créa­tions d’œuvres d’au­teurs contem­po­rains (Arra­bal, Mar­co-Anto­nio de la Par­ra, qu’il tra­duit du chi­lien, Chi­quet Mawet, Mar­kus Köbe­li, Tom Stop­pard…) qu’il joue ou met en scène ou les deux, avec tou­jours l’at­trait pour le drôle et l’ab­surde.  Il crée de nom­breux spec­tacles d’im­pro­vi­sa­tion, et tra­vaille éga­le­ment en inter­ven­tion dans des entre­prises et ins­ti­tu­tions. Il joue aus­si du théâtre de réper­toire avec Le Misan­thrope, Mac­Beth ou Du Vent dans les Branches de Sas­sa­fras. Il a créé sa propre struc­ture, Le Groupe®, avec laquelle il crée les textes qu’il écrit (Cau­se­rie sur le Lem­ming, Deux Mar­quis) ou qu’il adapte (Mark Twain, J.M.G. Le Clé­zio, Jean Rath­mès).  Il acréé« Toutes les Choses Géniales », de Dun­can Mac­Mil­lan, en tour­née actuel­le­ment. Au ciné­ma, il est au géné­rique d’une dizaine de courts métrages, d’une série web (Le Centre) et de longs métrages, dont Nos Vies For­mi­dables, de Fabienne Godet, qui sort au prin­temps 2019.
Après des études d’ingénieur, il débute en tant qu’acteur et éclai­ra­giste pour dif­fé­rents théâtre d’étudiants. Il entre dans le monde pro­fes­sion­nel du spec­tacle en fai­sant son ser­vice civil en tant que tech­ni­cien éclai­rage dans un centre cultu­rel. Il tra­vaille ensuite comme direc­teur tech­nique et/ou éclai­ra­giste pour dif­fé­rentes  com­pa­gnies de théâtre et/ou de danse : Wim Van­de­key­bus, Michael Laub, Arse­nic, Les Bal­lets du Grand Magh­reb, Topor, Grou­pov, Mez­za Luna, KVS, Pop-Up… Il mène de nom­breuses tour­nées en Europe, Amé­rique du Nord et du Sud, Japon,… A par­tir de 2000, il tra­vaille comme direc­teur tech­nique au KVS à Bruxelles. Pen­dant cette période, il a été consul­tant pour l’étude et la construc­tion de deux nou­velles salles au KVS. Depuis 2012, il assure le poste de chef de ser­vice éclai­rage au Théâtre Royal de la Mon­naie, et a assu­mé l’écriture du cahier des charges pour la par­tie élec­trique de la réno­va­tion de la Mon­naie.  
Ayant débu­té très jeune l’apprentissage du pia­no, Johan Dupont obtient son mas­ter au Conser­va­toire Royal de Liège avec la plus grande dis­tinc­tion, et est lau­réat des Concerts Per­ma­nents Dexia.  Il se per­fec­tionne dans le jazz auprès d’Eric Legni­ni.  En plus des concerts et tour­nées avec ces dif­fé­rentes for­ma­tions, Johan Dupont est très deman­dé dans le cadre de pres­ta­tions solos.  Aus­si à l’aise en clas­sique qu’en jazz, il a tout récem­ment été sol­li­ci­té par l’Orchestre des Flandres pour se pro­duire en tant que pia­niste soliste dans les plus pres­ti­gieuses salles du royaume. Aucun réper­toire ne l’arrête, que ce soit la musique clas­sique, le jazz et les musiques impro­vi­sées en pas­sant par l’accompagnement de films muets sans oublier le vaste réper­toire de la chan­son et de la varié­té en géné­ral.  
 Après des débuts à l’O­pé­ra Royal de Liège, elle enchaîne les prises de rôle avec : Papa­ge­na dans La Flûte Enchan­tée (sous la direc­tion de Jean-Yves Ossonce à Tours), Omphale dans Les Tra­vaux d’Her­cule de Claude Ter­rasse (à l’O­pé­ra de Metz), Noé­mie dans Cen­drillon (à l’O­pé­ra de Mar­seille), Gia­net­ta dans L’Elisir d’A­more (à l’Opéra de Saint-Etienne, Rouen puis Limoges), puis Pedro dans Don Qui­chotte de Mas­se­net sous la direc­tion de Marc Min­kows­ki avec José Van Dam à la Mon­naie. Ensuite, elle a chan­té Fras­qui­ta dans Car­men pour l’ou­ver­ture de l’O­pé­ra de Mus­cat (Prin­ci­pau­té d’O­man) Julie conti­nue sa col­la­bo­ra­tion avec la Mon­naie avec le rôle de Ida dans Die Fle­der­maus et elle chante éga­le­ment dans Manon Les­caut. Elle inter­prète le rôle de Thé­rèse dans Les Mamelles de Tiré­sias à Aix en Pro­vence ain­si qu’à la Mon­naie et elle fait ses débuts dans le rôle de Nadia de La Veuve joyeuse à l’Opéra de Lau­sanne. Éclec­tique dans son réper­toire, Julie touche notam­ment à la musique baroque ain­si qu’au théâtre avec l’ensemble Lepo­rel­lo. Elle col­la­bore très sou­vent avec l’Orchestre de chambre de Wal­lo­nie dans le cadre de dif­fé­rentes pro­gram­ma­tions : concerts d’opérette, musique sacrée,…Elle enre­gistre un disque avec le trom­pet­tiste de jazz Greg Hou­ben Après un rêve sur le thème de Fau­ré et Debus­sy, elle chante dans Alge­ri­no in Ita­lia, créa­tion de Joris Blan­ckaert sur un livret de Dirk Ops­taele. Aujourd’hui Julie se par­tage entre l’opéra et des pro­jets divers, comme An ame­ri­can song­book avec l’Orchestre de chambre de Wal­lo­nie et le saxo­pho­niste Steve Hou­ben, mais aus­si le pro­jet : Sis­ters in Crime, où elle explore les stan­dards amé­ri­cains des années 50 avec Sarah Lau­lan et Johan Dupont. Ses pro­jets sont : Alice dans Le Comte Ory à l’Opéra de liège, la créa­tion Juke-box Opé­ra au Théâtre le Public à Bruxelles, Fras­qui­ta dans Car­men à l’Opéra de Saint-Étienne, Maria dans West­side Sto­ry à Paris et à Mons et l’enregistrement de l’album des Sis­ters in Crime.  
Après une for­ma­tion en arts plas­tiques et en his­toire de l’art, elle s’est diri­gée vers la scé­no­gra­phie tout en déve­lop­pant un tra­vail per­son­nel en sculp­ture. www.lagalerie.be/maggyjacot Elle conçoit les décors et les cos­tumes pour de nom­breux pro­jets en France et en Bel­gique dans le domaine du théâtre (avec Fran­cis Sour­bié, Fran­çoise Sei­gner, la Mez­za Luna, Thier­ry Poquet, Bri­gitte Bailleux, etc.), de la danse (avec Wim Van­de­key­bus) et ponc­tuel­le­ment de l’opéra avec Claire Ser­vais. Avec Axel de Boo­se­ré elle a d’abord co-signé les spec­tacles et les outils d’itinérance de la Com­pa­gnie Arse­nic, puis créé la Com­pa­gnie Pop-Up en 2013, conti­nuant à explo­rer les dif­fé­rentes facettes d’un théâtre visuel por­teur de sens.
Elle col­la­bore depuis plus de 15 ans avec les créa­teurs Axel de Boo­se­ré et Mag­gy Jacot (Le Dra­gon, Eclats d’Harms, Mac­Beth, Caba­ret du bout de la nuit, Alpen­stock…). Elle a aus­si inter­pré­té des pre­miers rôles notam­ment sous la direc­tion de Jacques Del­cu­vel­le­rie, Jean-Claude Berut­ti, Phi­lippe Van Kes­sel, Johan Simons, Denis Mar­leau, Roman Kozak… En tant qu’autrice, Le départ, son der­nier texte, a reçu en 2017 les prix InédiThéâtre/Les Jour­nées de Lyon des Auteurs de Théâtre et le Prix Georges Vaxe­laire Il est publié aux édi­tions Lans­man. Au ciné­ma, elle figure dans la plu­part des films de Luc et Jean-Pierre Dar­denne (La fille incon­nue, Le gamin à vélo, Le silence de Lor­na, L’enfant, Roset­ta, La pro­messe).
D’origine wal­lonne, il sui­vra toute sa sco­la­ri­té en néer­lan­dais. Cette double appar­te­nance lin­guis­tique explique qu’il soit aujourd’hui un des rares auteurs belges écri­vant en néer­lan­dais et en fran­çais. Après des études de mon­teur, Pour­veur est d’abord actif comme scé­na­riste pour le ciné­ma et la télé­vi­sion. Il com­mence à écrire pour le théâtre au milieu des années 1980 et se révèle rapi­de­ment comme un des repré­sen­tants les plus talen­tueux de la nou­velle dra­ma­tur­gie fla­mande. Ren­con­trant un vif suc­cès en Flandre et aux Pays-Bas (il est mon­té par Guy Cas­siers, Lucas Van­der­vorst, Willi­brord Kee­sen, etc.), son œuvre est de plus en plus jouée en Bel­gique fran­co­phone où elle est mon­tée par des met­teurs en scène tels que Hélène Gailly, Chris­tine Del­motte, le col­lec­tif Trans­quin­quen­nal, Phi­lippe Sireuil ou encore Michaël Delau­noy.